Le Chêne de Saint-Jean, Saint-Jean-aux-Bois
N° 3 parmi les attractions de Saint-Jean-aux-Bois
Faits et informations pratiques
Le Chêne de Saint-Jean est une attraction située à Saint-Jean-aux-Bois (région Hauts-de-France) et appartenant à la catégorie : arbre.
Il est situé à une altitude de 262 pieds, et ses coordonnées géographiques sont 49°21'22"N de latitude et 2°54'11"E de longitude.
Parmi d'autres lieux et attractions à visiter dans les environs, il y a notamment : Porche de la ferme de l'abbaye (lieu historique, 16 min. de marche), Abbaye de Saint-Jean-aux-Bois (église, 16 min. de marche), Forêt de Compiègne (nature, 48 min. de marche).
Saint-Jean-aux-Bois France
Le Chêne de Saint-Jean – populaire dans la région (distance de cette attraction)
À proximité, vous trouverez notamment des attractions telles que : Château de Pierrefonds, Clairière de l'Armistice, Château d'Orrouy, Forêt de Compiègne.
- 3.5 miEForts et châteaux, Musée, Musée d'histoire
Château de Pierrefonds, Pierrefonds
90 min. de marche • Le Château de Pierrefonds, joyau architectural de la commune de Pierrefonds dans l'Oise, se dresse majestueusement au cœur de la forêt de Compiègne. Édifice médiéval reconstruit au XIXe siècle, ce château est un exemple remarquable de l'architecture...
- 5 miNMonuments et statues, Mémorial
Clairière de l'Armistice, Compiègne
127 min. de marche • La clairière de l'Armistice est la clairière où se trouvait le wagon dans lequel ont été signés l'armistice du 11 novembre 1918 entre la France, ses alliés et l'Allemagne, puis l'armistice du 22 juin 1940 entre la France et le Troisième Reich.
- 4.8 miSWForts et châteaux
Château d'Orrouy
122 min. de marche • Le château d'Orrouy est situé sur la commune d'Orrouy, dans le département de l'Oise.
- 1.9 miNWGrande forêt pittoresque et zone de loisirs
Forêt de Compiègne
48 min. de marche • La forêt de Compiègne est une forêt domaniale des Hauts-de-France proche de Compiègne. D'une superficie de 14 357 hectares , elle constitue un des grands massifs forestiers de France et la cinquième forêt domaniale de France métropolitaine par sa taille.
- 5 miSÉglise
Église Saint-Sulpice de Béthancourt-en-Valois
129 min. de marche • L'église Saint-Sulpice est une église catholique paroissiale située à Béthancourt-en-Valois, dans l'Oise, en France. Elle fut donnée à l'abbaye de Morienval vers le milieu du XIIe siècle. L'église romane qui existe à cette époque est alors presque entièrement reconstruite en deux étapes, en ne laissant subsister que le clocher du début du XIIe siècle. Dans un premier temps, une longue nef de plan basilical est édifiée, qui n'est pas destinée à être voûtée. Dans un deuxième temps, vers la fin du XIIe siècle et au début du siècle suivant, la nef est munie d'un portail occidental décoré d'un nombre particulièrement important de colonnettes à chapiteaux, et un nouveau chœur de deux travées est bâti à l'est. voûté d'ogives contrairement à la nef, il s'accompagne de deux bas-côtés, et se termine par un chevet plat, dont la fenêtre au réseau gothique rayonnant a été aménagé après coup. Dans le chœur, qui est d'une facture assez sobre, l'on remarque notamment la disposition particulier des supports selon le système chartrain, qui n'est pas utilisé ailleurs dans le Valois. À l'époque moderne, les bas-côtés sont reconstruits : celui du nord pendant la première moitié du XVIe siècle, et celui du sud au cours du siècle suivant. L'église Saint-Sulpice est inscrite aux monuments historiques par arrêté du 22 février 1949, et a bénéficié d'une restauration à la fin du XXe siècle. Elle est aujourd'hui affiliée à la paroisse de la vallée de l'Automne, dont le principal lieu de culte est l'église Saint-Pierre de Verberie, et des messes dominicales y sont célébrées tous les deux mois, généralement le dimanche à 9 h 00.
- 3.3 miEÉglise
Église Saint-Sulpice de Pierrefonds, Pierrefonds
85 min. de marche • L'église Saint-Sulpice est une église catholique paroissiale située à Pierrefonds, en France. De style gothique, elle associe un chœur avec deux collatéraux du XIII e siècle à une double nef flamboyante de la fin du Moyen Âge. L'édifice est toutefois d'origine beaucoup plus ancienne que les parties gothiques ne le suggèrent. La fondation par le seigneur Nivelon et le début des travaux remontent aux années 1060, et le chœur de la première église romane devait être achevé au début du XII e siècle. N'en font preuve que les trois arcades faisant communiquer les trois vaisseaux du chœur avec les deux nefs, et à plus forte raison la crypte en dessous du chœur, abritant la tombe de Nivelon et la source thermale ayant donné son nom à Pierrefonds. Alors que la façade occidentale, le portail septentrional et le remplage des fenêtres ont été très soignés, l'intérieur témoigne d'une construction hâtive sans voûtement et sans la moindre ornementation. Les nefs s'accordent mal avec le chœur, prévue à la base pour une nef simple accompagnée de bas-côtés. En même temps, l'église est spacieuse et bien éclairée, et les charpentes en carène renversée du chœur sont d'un bel effet. Très endommagée lors de la Première Guerre mondiale, le chœur actuel est en grande partie le produit d'une reconstruction à l'identique lancée en 1926. Sinon, l'élément le plus récent est l'étage de beffroi et le couronnement du clocher, achevé en 1557 dans une architecture Renaissance très sophistiquée. L'église a été classée au titre des monuments historiques par liste de 1862, puis déclassée et classée de nouveau par arrêté du 7 août 1885 et par arrêté du 5 février 1920 . Du prieuré adjacent ayant dépendu de l'abbaye de Marmoutier, ne restent qu'une porte fortifiée et de rares vestiges. L'église Saint-Sulpice est aujourd'hui affiliée à la paroisse Notre-Dame-de-Neuffontaine de la vallée de l'Aisne.
- 5.2 miEZone
Saint-Étienne-Roilaye, Chelles
134 min. de marche • Saint-Étienne-Roilaye est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.
- 3.1 miEMusée
Gare de Pierrefonds, Pierrefonds
80 min. de marche • La gare de Pierrefonds est une gare ferroviaire française désaffectée située sur le territoire de la commune de Pierrefonds dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France. Ouverte en 1884 et fermée au service des voyageurs le 25 février 1940, elle a fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques en 1977.
- 0.6 miSÉglise
Abbaye de Saint-Jean-aux-Bois, Saint-Jean-aux-Bois
16 min. de marche • L’abbaye de Saint-Jean-aux-Bois est une ancienne abbaye située dans l'actuel département français de l'Oise, en forêt de Compiègne, sur le territoire de la commune de Saint-Jean-aux-Bois. Elle est fondée en 1152 par la reine Adélaïde de Savoie afin d'y établir une communauté de sœurs bénédictines vivant sous la règle de Cluny. La veuve du roi de France Louis VI achète à cet effet des terres et l'ancienne maison royale de Cuise que son époux et Philippe Ier avaient données au prieuré de Béthisy-Saint-Pierre. La construction du couvent commence sans doute peu après la fondation, mais le chantier de l'église se déroule au cours des années 1220 seulement.
- 4.2 miSWÉglise
Église Notre-Dame-de-la-Nativité de Champlieu
109 min. de marche • L'église Notre-Dame-de-la-Nativité et Saint-Jacques de Champlieu est une ancienne église catholique paroissiale située à Orrouy, en France. Elle est connue localement comme la chapelle romane de Champlieu. Les origines de ce qu'il convient plutôt d'appeler une église restent dans l'ombre. Elle pouvait accueillir entre 620 et 640 fidèles, et des fouilles archéologiques ont démontré qu'elle remplace un édifice de l'époque carolingienne au moins aussi grand, voire plus important : situé sur l'un des chemins de Compostelle se confondant avec la chaussée Brunehaut, Champlieu devait avoir une certaine importance jusqu'à l'abandon de cette voie. Au Moyen Âge, pendant une période impossible à préciser, l'église appartient à l'abbaye bénédictine Saint-Crespin-le-Grand de Soissons. Elle est dédiée à Notre-Dame-de-la-Nativité et un prieuré y est associé. Au XVIe siècle au plus tard, église et prieuré dépendent du prieuré de Saint-Thibaut. Après plusieurs incendies, ce prieuré avec sa dépendance de Champlieu sont donnés au couvent des Bénédictins anglais de Paris vers le début du XVIIe siècle. Les Anglais encouragent le culte marial, et le pèlerinage pour Champlieu gagne une certaine importance. Le prieuré est désaffecté bien avant la Révolution française, et à la suite du départ des Bénédictins vers leur maison-mère, l'église n'apparaît plus dans les documents que sous le vocable de Saint-Jacques, auquel une chapelle avait toujours été dédiée dans l'église. Elle continue d'être desservie par un vicaire, avec une interruption à la période révolutionnaire, mais n'est fermée au culte qu'en 1808 par décision du conseil municipal, en raison de son mauvais état. Un coup de foudre détruit l'édifice en 1814. La plus ancienne représentation iconographique connue de l'église date de 1842 et la montre déjà dans son état actuel. Elle se composait d'une nef non voûtée de cinq travées initialement accompagnée de bas-côtés, dont seul les murs ouest et nord de la nef restent debout ; d'un transept dont les croisillons communiquaient avec la croisée par des arcades plein cintre assez basses ; et d'un chœur au chevet plat d'une seule travée. Transept et chœur forment un ensemble homogène pouvant remonter à la fin du Xe siècle. Le voûtement en berceau remonte au dernier tiers du XIe siècle. Seules les amorces des voûtes subsistent aujourd'hui. Une grande fenêtre avait été percée dans le mur du chevet au XV e ou XVI e siècle, mais les étroites baies romanes subsistent ailleurs dans le transept et au nord et au sud du chœur. La nef date de la seconde moitié du XIIe siècle, avec un portail en tiers-point à la triple archivolte de la fin du XIIe siècle ou du début du XIIIe siècle, et des grandes arcades également en tiers-point reposant sur des piliers carrées, sur lesquelles sont alignées les quatre fenêtres hautes au nord. L'abandon du bas-côté nord remonte au XIV e ou XV e siècle. La ruine de l'église a été classée monument historique par arrêté du 8 mars 1923.
- 4.1 miSÉglise, Jardin, Park
Abbaye Notre-Dame de Morienval
105 min. de marche • L’abbaye Notre-Dame de Morienval est une ancienne abbaye bénédictine de femmes, fondée sans doute pendant le troisième quart du IXᵉ siècle par Charles le Chauve, dans un vallon proche de Crépy-en-Valois, sur l'actuelle commune de Morienval dans l’Oise.